J.O. Tokyo 2021 : Faux départ ?

Posté le 14 juillet 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Alors que les joggeurs se demandent encore si les 20 Km de Bruxelles auront lieu cette année, le gouverneur nouvellement réélu de Tokyo, Madame Yuriko Koike, a déclaré que les Jeux olympiques de Tokyo 2020, reportés à 2021, devaient bien se dérouler l’année prochaine « comme symbole de l’union du monde pour surmonter cette situation difficile ».

Si louable que soit ce sentiment, plus de la moitié des habitants de Tokyo estiment pourtant que les Jeux devraient être à nouveau reportés, voire carrément annulés.

S’ajoutent à cela l’énorme facture occasionnée par le report, la méfiance des sponsors nationaux – qui ont déjà déboursé 353 milliards de yens (2,9 milliards d’euros) – et l’anxiété générale à propos du coronavirus. La bataille de Tokyo 2021 n’est pas gagnée d’avance.

Un autre casse-tête pourrait être de trouver un endroit pour héberger les compétiteurs. 80% des sites auraient été réservés ferme pour les Jeux reportés à l’année prochaine, mais le village des athlètes de 5 000 appartements est désormais déjà réassigné à un autre usage.

Quoi qu’il en soit, en l’absence d’un vaccin contre le coronavirus, convaincre le public japonais que c’est une bonne idée de tenir les Jeux olympiques à Tokyo l’été prochain sera un défi.

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Courir en Espagne aux temps du Covid-19

Posté le 7 juin 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Le magazine espagnol CORREDOR a réalisé une enquête approfondie en collaboration avec Sport Life et TrailRun, dans laquelle plus de 15 000 coureurs ont été interrogés sur leurs intentions en tant qu’athlètes lorsque l’état d’alerte au Covid-19 prendra fin et que les épreuves de course à pied reprendront.

Au fur et à mesure que les différentes provinces espagnoles franchissent les étapes de fin de confinement, les coureurs à pied abandonnent leur peur de reprendre l’activité entourés d’autres personnes et le meilleur exemple en est les images que l’on voit des grandes villes, avec des foules des coureurs qui ne portent pas de masque et qui ne respectent pas la distance minimale de sécurité recommandée par les autorités sanitaires.

Selon l’enquête, 86,18% des coureurs participeront à des courses populaires dès que les épreuves en plein air seront à nouveau autorisées, même en l’absence d’un vaccin contre le COVID-19. 67,62% sont prêts à courir quel que soit le nombre de participants, tandis que 13,15% ne participeront de préférence qu’à des événements de moins de 1 000 inscrits. 3,16% choisiront les courses de moins de 3 000 participants, 2,26%, les courses, de moins de 5 000.

L’étude du magazine CORREDOR montrent que les amateurs de courses à pied sont prêts à changer leurs habitudes afin de s’adonner à nouveau à leur passion après l’épisode de Covid-19. 94,65% sont prêts à se soumettre à un test médical s’il est obligatoire pour obtenir le droit de participer aux courses, 60,30% sont disposés à en payer le coût lors de l’inscription à l’événement, 53,15% sont prêts à payer jusqu’à 20 euros pour cela.

Qu’ont fait les coureurs espagnols pendant la période de confinement extrême ? 94,03% ont continué à s’entraîner, 31,39% ont fait de l’exercice tous les jours de la semaine. L’activité la plus fréquente était le travail de force (83,32%), suivi du yoga et des étirements (40,74%), du vélo ou du roller (33,76%), du jogging en fonction de l’espace disponible dans les habitations (30,53 %), du tapis roulant (9,39%) et de l’elliptique (7,76%).

Les coureurs à pied espagnols sont impatients de reprendre leur pratique à l’extérieur. Ils ne sont assurément pas les seuls.

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A lire sur Palingénésie, en suivant le lien : « Sur les traces de nos peurs », la recension d’un ouvrage réalisé à partir d’une série d’entretiens avec l’historien spécialiste du Moyen Âge, Georges Duby (1919-1996).

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Le jogging aux temps du corona

Posté le 5 mai 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Les joggeurs seraient-ils devenus de pires nuisances que les trottinettes électriques en ville et que ces chiens pas toujours accommodants fréquentant les sentiers de nos bois et campagnes sans être tenus en laisse ?

Certes, si, promeneur du dimanche, vous rencontrez au détour d’un bois un joggeur ruisselant et soufflant comme un phoque qui détourne son souffle puissant vers vous pour vous saluer dans un ahanement rauque et une exhalaison profonde, ce n’est pas glamour aux temps du corona.

N’empêche, à défaut de s’infliger la corvée des achats de première nécessité qui s’apparente à un nième épisode de The Walking Dead, cette série d’horreur américaine mettant en scène des zombies ayant survécu à l’apocalypse, le jogging constitue pour beaucoup un judicieux exutoire pour s’extraire de chez eux et d’eux-mêmes et nul doute que cette possibilité qu’offre la pratique de la course à pied n’ait suscité de nouvelles vocations.

A moins que vos pantalons, longs ou courts qu’importe, en fibre élastomère n’aient servi à approvisionner l’atelier familial de masques ou n’aient été produits dans quelque atelier chinois, à Wuhan en particulier, ce qui pourrait aux yeux de bon nombre les rendre impropres à l’usage par les temps qui courent (eux aussi), à moins que, donc – la pratique du jogging est non seulement permise mais même conseillée, surtout, ami·e·s, que l’air n’a plus été aussi pur qu’aujourd’hui depuis le début de la révolution industrielle.

Jogger est donc désormais aussi politiquement correct que l’écriture inclusive, pour autant que vous ne projetiez pas vos aérosols dans la figure des braves piétons poussant leurs caddies surchargés et – une étude belgo-néerlandaise le préconise – vous restiez à dix mètres au moins de tout ce qui bouge, car il est devenu difficile de faire la différence entre un inoffensif piéton avec un masque fabrication maison et un ours mal léché avec une muselière.

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Planifier, méditer et rester positif aux temps du corona

Posté le 3 avril 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Un coureur sait toute l’importance d’avoir un plan. Une fois qu’il s’est inscrit à une course, il s’agit de passer les mois et semaines qui suivent à s’y préparer, que l’objectif soit de simplement courir pour le plaisir, de réussir un nouveau record personnel sur la distance ou de franchir la ligne d’arrivée d’un premier marathon.

Une fois venu le jour de la course et le départ lancé, il s’agit d’être pleinement conscient de l’instant présent et de faire face.

La même idée s’applique à la vie en dehors de la course, particulièrement, serait-on tenter d’ajouter, en ces temps de corona-confinement. D’après de nouvelles recherches, ceux qui planifient à l’avance et vivent dans le moment présent sont mieux armés pour rester positifs lorsque la situation devient difficile.

Dans une étude qui a été publiée dans la revue Personality and Individual Differences et commentée dans le magazine Runner’s World, des chercheurs ont examiné pendant 9 jours les données de 223 participants – 107 d’entre eux avaient entre 18 et 36 ans et 116 d’entre eux avaient entre 60 et 90 ans.

Au début de l’expérience, tous les participants ont répondu à une enquête qui leur demandait la fréquence à laquelle ils planifiaient à l’avance pour réduire la probabilité d’un stress futur. Ensuite, il leur a été demandé de garder trace des facteurs de stress quotidiens (comme les disputes, les facteurs de stress professionnels et domestiques, etc.), de l’impact de ces facteurs de stress sur leur humeur et des changements survenus dans leur capacité à rester attentifs et conscients du moment présent.

Les résultats ? Ceux qui utilisaient des méthodes d’adaptation proactives (comme visualiser les rêves puis essayer de les réaliser) et les techniques de pleine conscience chaque jour étaient moins enclins à être influencés négativement par les facteurs de stress dans leur vie.

Fait intéressant, cependant, lorsque les participants ne se livraient qu’à la planification proactive – et n’adoptaient pas une attitude de pleine conscience, d’être présent à soi, au monde autour de soi, et de focaliser son attention – ils déclaraient toujours se sentir stressés.

Selon la responsable de l’étude, Shevaun Neupert, Ph.D. et professeur de psychologie à la North Carolina State University, c’est la combinaison de la planification proactive et de la pleine conscience de soi et du monde autour de soi qui aide à réduire le stress et l’anxiété.

La Mayo Clinic, une fondation universitaire américaine de soins et de recherche de grande renommée dont le siège est situé dans la ville de Rochester, dans le Minnesota, conseille, lorsque l’on a une pensée négative, de trouver un endroit où s’asseoir, de respirer profondément et de fermer les yeux. S’asseoir et respirer ne serait-ce qu’une minute peuvent déjà aider.

Ce n’est pas la seule manière d’atteindre l’équanimité aux temps du corona, mais c’en est une.

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Le Marathon de Rome (29.03.2020) est annulé

Posté le 5 mars 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Les organisateurs du Marathon de Rome qui devait avoir lieu le 29 mars ont décidé de l’annuler en raison de la situation d’urgence sanitaire actuelle liée à la propagation du coronavirus en Italie et d’un décret gouvernemental.

“Nous avons beaucoup travaillé ces derniers mois, écrivent les organisateurs dans leur communiqué, nous l’avons fait avec passion et professionnalisme. Un grand parcours avait été préparé avec de la musique et des surprises qui, nous en sommes sûrs, auraient laissé sans voix les marathoniens du monde entier.”

“La santé, poursuivent-ils, est un aspect qui ne doit jamais être négligé. Nous vous donnons d’ores et déjà rendez-vous en 2021.”

Beau geste s’il en est : le droit d’inscription sera reporté et garanti pour tous pour l’an prochain et l’Acea Run Rome The Marathon remettra deux médailles autour du cou des marathoniens, la médaille de 2020, symbole de la résistance et de la persévérance, et celle de 2021, métaphore d’une double victoire.

Les organisateurs de l’Acea Run Rome The Marathon ont tenu à remercier toute leur équipe, composée de dizaines de personnes, les institutions, les sponsors et les coureurs du monde entier qui avaient choisi de participer cette année au Marathon de Rome.

L’Acea Run Rome The marathon ne s’arrête pas, précisent les organisateurs, exactement comme les marathoniens : forts, tenaces, obstinés.

“Seuls ceux qui tombent peuvent se relever, conclut le communiqué des organisateurs du Marathon de Rome, mais nous, on ne va pas seulement se relever, on va courir.”

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Le Marathon de Paris n’aura pas lieu le 5/4. Il est reporté au dimanche 18 octobre 2020.

Posté le 5 mars 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Amaury Sport Organisation (A.S.O.) a annoncé dans un communiqué officiel que la 44e édition du Marathon de Paris n’aura pas lieu le 5 avril 2020 comme prévu. Il est reporté au dimanche 18 octobre 2020.

Immédiatement après l’annulation de l’Harmonie Mutuelle Semi de Paris 2020 qui s’est imposée à moins de vingt-quatre heures du départ de la course, les équipes de la Mairie de Paris et d’Amaury Sport Organisation se sont mobilisées et ont tout mis en œuvre pour trouver une date de report de l’épreuve. L’Harmonie Mutuelle Semi de Paris 2020 aura lieu dimanche 6 septembre.

En ce qui concerne le Schneider Electric Marathon de Paris, c’est afin d’éviter une annulation tardive qui pénaliserait les concurrents, qu’A.S.O. a également, d’un commun accord avec la Mairie de Paris, décidé de reporter le Marathon de Paris au 18 octobre 2020. Les modalités pratiques concernant ces deux reports seront prochainement communiquées aux concurrents.

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Challenge Delhalle 2020 : Cross de Bousval, une 42e édition bénie des dieux du jogging

Posté le 2 mars 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

De manière surprenante, compte-tenu de ce qu’il était tombé comme pluie les jours précédents, la 42e édition du Cross de Bousval, l’une des plus anciennes courses hors stade du pays, s’est déroulée dimanche après-midi par temps sec et sur un parcours qui, s’il n’était pas entièrement privé de portions boueuses, n’en restait pas moins fort praticable – définition du dictionnaire : où l’on peut passer sans danger, sans difficulté – sur l’ensemble de ses deux boucles vallonnées en forme de huit, avec, au 9e km, à l’intersection des deux boucles, la côte et ses pavés d’enfer qui vous conduisent de l’église au cimetière.

Il eût suffi que nous courrions la veille ou le lendemain pour que c’eût été sous la drache. Dieux du jogging merci, ce calvaire nous fut épargné.

614 inscrits, 603 partants et 598 finishers sur les 15 km (qui n’en étaient apparemment que 14,600), 90 finishers sur les 10 km et 90, sur les 5 km, cela en fait 778 au total, un fort beau score et un seul regret, que René Denruyter, l’âme du jogging sportif et récréatif dans ce beau village du Brabant wallon, René à qui l’on souhaite de tout coeur un prompt et complet rétablissement, n’ait pas été présent parmi nous, même s’il l’était en esprit, à ne pas en douter.

Victoires des frères jumeaux Mourad et Lahcen El Matougui en 51 min 01 sec devant Tom Vandiest (51:34) et de Soetkin Demey en 58 min devant Dorothée Cupers (1:01:48) et Sabine Vanderzwalmen (1:03:03) dans la course sur la grande distance qui seule entrait en ligne de compte pour le Challenge Delhalle. (Merci à Clo, du R.C. Namur, pour ses nombreuses photos, dont les deux illustrant ce compte-rendu.)

La prochaine course du Challenge Delhalle, le Val d’Heure, aura lieu le dimanche 22 mars 2020, à Ham-sur-Heure, sur 14 km (départ à 10 heures 45). Renseignements et inscriptions via ce lien.

Entre-temps, le Jogging Club du Ronvaux vous invite à la 29e édition de son jogging qui aura lieu dans l’écrin de verdure des Ardennes brabançonnes, le samedi 7 mars 2020 à 15 heures, à Chaumont-Gistoux. Ce jogging ne fait plus partie du Challenge du Brabant wallon et a été rebaptisé « La Chaumontoise ». Parcours sur 12,7 km et 5,8 km et pré-inscriptions via ce lien.

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Challenge de jogging du Brabant wallon à Lillois : Les Crêtes de Hurle-Vent

Posté le 23 février 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Wuthering Heights (Les Hauts de Hurle-Vent ou Hurlevent, en français), est l’unique roman d’Emily Brontë. Il fut publié pour la première fois en 1847 sous le pseudonyme d’Ellis Bell.

Le roman choqua à l’époque, par son manque de respect pour les conventions sociales, ainsi que par la noirceur de ses personnages et des situations. Le succès des Hauts de Hurlevent fut parfois sous-estimé en raison de l’éclatante réussite de Jane Eyre, publié la même année, le roman de Charlotte, la soeur d’Emily Brontë, mais le roman de cette dernière reste néanmoins l’un des plus grands classiques de la littérature anglaise du XIXe siècle.

Rien de choquant sur les Crêtes brainoises de l’USBW à Lillois, rassurez-vous, toutes les conventions sociales y furent respectées, même en cette période de Carnaval, caution parfois pour certains d’outrageuses dérives. Les personnages des Crêtes ne furent d’aucune noirceur et l’organisation, parfaitement sous contrôle, bénéficiait de plusieurs dizaines de précieux bénévoles et d’un dispositif policier tout aussi performant là où il s’agissait pour les joggeurs de traverser des chaussées fréquentées.

Par contre, le vent soufflait, hurlait, vous donnait l’impression sur les crêtes de rugir de partout à la fois et vous empêchait de profiter de l’aspiration dynamique de celui ou celle, plus en jambes, qui vous précédait.

Victoires à Lillois de Valentin Poncelet en 41:22, devant Arnaud Van Vracem (41:57) et Nicolas Maroye (42:52), ainsi que de Dorothée Cupers en 50:48, devant Sabine Vanderzwalmen (51:45) et Audrey De Moor (52:17) sur les 12,8 km, et de M. Mazid en 21:16 et V. Henin en 25:22 sur les 6,2 km. Les Crêtes brainoises attirèrent 960 participants sur la grande distance et 199, sur la petite. (Photos : Laurent Saublens, qui s’est surpassé à Lillois : 2654 photos !)

La prochaine manche du Challenge de jogging du Brabant wallon aura lieu le samedi 14 mars 2020 à Hamme-Mille. Pour sa première édition, le Jogging de la Chouette Ecole nous emmènera sur un parcours de 11,2 km traversant les villages d’Hamme-Mille, Bossut, Pécrot et Néthen. Une course est aussi prévue sur la distance de 4,9 km.

Dans l’intervalle, l’équipe de René Denruyter vous accueillera, dimanche prochain, le 1er mars 2020, à 14 heures, à Bousval pour la 42e édition de ce rendez-vous incontournable de la saison de jogging brabançon, le Cross de Bousval, dans le cadre du Challenge Delhalle. Trois distances sont proposées : 5, 10 et 15 km. Renseignements et inscriptions via ce lien.

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Tokyo Marathon 2020 : Annulé pour cause de coronavirus, sauf pour les élites

Posté le 17 février 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Dans un communiqué publié aujourd’hui, le comité d’organisation du Tokyo Marathon 2020 a annoncé que l’événement n’aura lieu que pour les coureurs élites et les athlètes en fauteuil roulant élites.

« Nous avions continué de préparer le Marathon de Tokyo 2020 du dimanche 1er mars tout en prenant des mesures d’ordre préventif sur le plan sanitaire, mais à présent que la présence du virus COVID-19 a été confirmée à Tokyo, nous ne pouvons plus nous permettre de laisser l’événement se dérouler à l’échelle prévue à l’origine. Nous avons le regret de vous informer que la course ne sera ouverte qu’aux athlètes coureurs ou en fauteuil roulant de la catégorie élites », a indiqué le comité d’organisation du Tokyo Marathon 2020 dans son communiqué.

Les athlètes inscrits n’appartenant pas à la catégorie des élites seront autorisés à reporter leur inscription à la prochaine édition du Tokyo Marathon en 2021. C’est déjà ça, compte-tenu de ce que, chaque année, plusieurs centaines de milliers de candidats tentent d’obtenir l’un des quelque trente-six mille dossards disponibles et qu’il ne sont que fort peu parmi les heureux élus à ne pas participer à l’épreuve ou à abandonner, tant la passion est élevée.

Toutefois, ceux qui auront reporté leur inscription de cette année à l’an prochain devront à nouveau s’acquitter des droits d’inscription et, conformément au règlement de l’organisation, les droits d’inscription et les donations faites à l’occasion du Tokyo Marathon 2020 ne seront pas remboursés. (Photo : Tokyo Marathon)

Toutes autres informations utiles seront publiées sur le site du Tokyo Marathon 2020.

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Challenge de jogging du Brabant wallon à La Hulpe : A 1 100 à fond au Fond des Ails

Posté le 10 février 2020 par Thierry Godefridi — Aucun commentaire ↓

Pour la première de Joe Declercq, l’homme à la cloche qui préside aussi aux destinées du CEPAL, et de Rolande Grossen, des Tendons détendus, à la tête de l’organisation du jogging du Fond des Ails à La Hulpe, ce fut samedi une belle réussite avec un record de participation de 1100 joggeurs sur un seul parcours, de 12 km 600, principalement tracé dans le domaine Solvay et la forêt de Soignes.

Pour le plus grand plaisir de tous, faut-il ajouter, d’autant plus grand que les aficionados du jogging et du Challenge du Brabant wallon seront privés cette année d’une seconde incursion dans ce décor fastueux que traversait aussi, auparavant, le jogging de Waterloo et que, si Joe et Rolande n’avaient pris la relève, le jogging du Fond des Ails eût pu lui aussi disparaître du calendrier, quelque peu chahuté, le « petit livre vert » en atteste, de cette 36e édition du challenge.

Quoi qu’il en soit, cette chronique essayera de vous tenir au courant de la suite des événements, dès fois qu’un forfait ou une ajoute de toute, toute dernière minute se produisait. Entre-temps, gloire aux vainqueurs, honneurs à toutes et tous les autres et mille mercis aux photographes. Chez les hommes, victoire à La Hulpe de Romain Paul (41:39) devant Fabrice Van Espen (43:04) et Romain Deblander (43:27) ; chez les femmes, victoire de Dorothée Cupers (50:01) devant Amandine Ollinger (52:32) et Audrey De Moor (53:12). (Photos : Carine Caise)

La prochaine course du Challenge du Brabant wallon aura lieu, le samedi 22 février à 15 heures, à Lillois où l’USBW (Union sportive Braine-Waterloo) proposera un parcours bucolique et vallonné de 12 km 800, agrémenté des crêtes de Lillois et d’Ophain-Bois-Seigneur-Isaac. Comme d’habitude, les marcheurs seront les bienvenus. Une course sur 6 km 200 complétera le programme du jour.

Samedi prochain, 15 février 2020, « La Printanière », la course d’ouverture du Challenge Delhalle à Erpent sur 15,7 km. Inscriptions sur Chronorace. Le Challenge Delhalle comportera cette année 14 rendez-vous.

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